• Artega GT

    Une belle bête chez nous!

     

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    Ce 28 octobre 2010, lors des BMP Track Day à Mettet, j'ai pu découvrir en avant première belge: l'Artega GT.        Celle-ci sera désormais importée en Belgique par Monsieur Maxime Martin, fils de Monsieur Jean Michel Martin, importateur Alpina et Artega. Produite à 500 exemplaires par an, l'allemande sera sans doute rare et convoitée. Dessinée par le designer Henri Fisker à qui on doit également l'Aston Martin DB9, cette petite GT a de quoi jouer dans la cours des grandes sur le marché européen.

    La belle d'une longueur de 4 mètres pour 1285 kg est motorisée par un V6 VW développant 300ch. Sa puissance associée à boîte à 6 rapports et à double embrayage lui permet d'avaler le 0 à 100 km/h  en à peine 4,8 secondes! Rappelons que sa compatriote, l'audi TT RS en fait de même en 4,7 secondes mais qu'une Porsche Boxter S ne descend pas en dessous des 5,1 secondes. Au niveau vitesse de pointe, là encore, cette GT est supérieure avec ses 270 km/h contre... 250km/h pour la TT RS et 263 km/h pour la Boxter S.

    Dans l'habitacle, luxe, sobriété et sportivité se marient avec des matériaux assemblés artisanalement. Je vous laisse la galerie photo comme témoin de cette union. Vous pourrez d'ailleurs y découvrir le compteur de ce coupé qui est le premier au monde à rassembler la vitesse et le compte-tours en un seul cadran.

    Malheureusement, je me dois de vous administrer la douloureuse car cette GT d'exception sera vendue au prix de base de 81.000 euros. Pour continuer la comparaison, la Boxter S est vendue aux alentours de 65.459 euros et l'Audi TT RS à 56.990 euros. Vous l'aurez compris, cette voiture n'est pas à la portée de toutes les bourses. Pourquoi prendre une Artega me direz-vous? Sans doute pour avoir un bolide différent.

     

    Sources: Belga, www.audi.com, www.porsche.com, www.autotrends.be et www.artega.de

     

    Galerie de photos en grandes tailles ;)

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  • Le nouveau circuit Jules Tacheny de Mettet : qu’en est-il vraiment ?

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    Cette réalisation de 2,31 km de long et 12m de largeur inaugurée en mars 2010 laisse de quoi profiter de la mécanique sans pour autant atteindre des vitesses incroyables. Pour exemple, les 500m de la ligne droite ne permettent pas à une moto de course d’atteindre facilement les 220 km/h.

    Le plus surprenant et inhabituel pour ce tracé reste son sens anti-horloger. Les concepteurs ont appliqué ce principe car il diminuerait le bruit pour les riverains. Le dessin sur papier est réussi mais peut-être un peu cours dans la réalité. En un peu plus d’une minute dans une voiture lancée à toutes allures, vous en faites le tour. Le principe n’est donc pas de viser la longueur et la vitesse mais bien la précision du pilotage.

     

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     « Le plus amusant reste le virage numéro 7 avec sa descente appelé « pif paf » pour sa forme en S. La vitesse et le danger sont présents. Ce matin, le propriétaire d’une Porsche 996 carrera a fait un tête-à-queue avant de finir dans les pneus. Heureusement c’était sans gravité mais le risque d’accident est bien là. Mais c’est un plaisir de pousser ses limites toujours plus loin sinon on resterait spectateur.»

     

    Que l’on soit derrière le volant ou dans les gradins, le circuit Jules Tacheny est un lieu de rassemblement pour tous les passionnés auto et moto. Mettet et le sport mécanique, c’est une histoire qui dure depuis plus de 80 ans et espérons-le, ce n’est pas prêt de s’arrêter.

     

    Références:

    - http://www.bmpromotion.be/

    - http://www.circuit-mettet.be/

     


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  • BMP Track Day à Mettet

     

    Pourquoi perdre son permis et payer jusqu’à 2750 euros d’amende pour excès de vitesse ?

    Ce 28 octobre 2010 avait lieu les BMP Track Day pour la première fois sur le circuit de Mettet. L’événement organisé par l’asbl BM promotion voulait rassembler les amateurs de vitesse et de sportivité sans messieurs les gendarmes.


    De nos jours, les radars pullules sur nos routes alors pourquoi risquer de perdre son permis et son argent en roulant au dessus de la limitation. Moyennant la somme de 250 euros pour la journée, l’Event « Open track » classique était ouvert à tous, quelques soit la voiture, de sport, familiale ou de course... Les deux fondateurs de l’événement, Thierry Dreesen et Cédric Grandmont, n’en sont pas à leurs premiers essais dans l’aventure. Ils ont même réalisé un BMP Track day  en  novembre 2008 sur l’exceptionnel circuit de Spa-Francorchamps. Les débuts n’ont pas toujours été faciles et même si cette édition d’octobre à Mettet n’a pas eu autant de succès qu’espéré, ils ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Leur but est  de donner la possibilité à un maximum de passionnés de rouler sur circuit dans des conditions de sécurité les plus optimales possibles.

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    « Ce n’est pas la première fois que nous y pa rticipons, nous étions présents pour l’édition de Spa-Francorchamps.  C’est toujours amusant de pouvoir tester les limites de notre voiture. Je dis « notre » car nous sommes quatre à nous la partager. Notre team est issue d’une passion entre a mis. La bmw 320i, que nous avons, n’a pas coûté cher au départ et les frais sont divisés. Après quelques améliorations, nous voici. Une journée comme aujourd’hui est un réel plaisir mais le plus difficile reste que chacun ait assez de temps au volant.»


    Après un briefing et un bref contrôle technique des véhicules, deux types de sessions sont organisées par alternance : les sessions découverte et les sessions open. Les sessions découverte permettent de découvrir les trajectoires idéales en étant encadré par des pace-cars, conduites par des pilotes ayant une bonne connaissance du tracé.  Interdiction de dépasser, donc, et sécurité maximale. Les sessions open, quant à elles, permettent à chacun de prendre la mesure du circuit. Le nombre de participant se limite à 80 pilotes et le port du casque est obligatoire. Au volant de sa voiture de route, de course ou simplement « préparée », chacun aura l’occasion de rouler à son rythme et de profiter librement de la piste.

     

    Galerie photo (cliquer pour agrandir) 

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    Je tiens à remercier Monsieur Cédric Grandmont et Monsieur Thierry Dreessen pour leur grande collaboration. Une journée inoubliable 

     

    Référence: http://www.bmpromotion.be/

     

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    Des trous, des trous, toujours des trous !

    A l’heure où notre gouvernement est toujours inexistant, nous sommes en droit de nous demander ce qui nous attend. La crise, le trou budgétaire, la guerre linguistique. Ça nous dépasse ! Mais ce qui nous atteint plus directement c’est l’état des routes…

    Souvenez-vous, nous avons eu un hiver très rude pour notre santé mais aussi pour nos véhicules. Nous sommes nombreux à connaître quelqu’un qui a eu un accident. Etant donné la situation météorologique, l’Etat avait mis son grain de sel pour essayer de limiter les dégâts.  Nous les remercions pour cette décision coûteuse qui a sûrement sauvé des vies mais il y a bien sûr un prix à payer. Ce précieux sel attaque nos belles mécaniques mais également les routes. Le bitume belge déjà bien ancien n’a évidemment pas supporté d’être autant malmené.

    A l’heure actuelle, nos chers voisins ont de quoi rire, la France est digne d’un billard, l’Allemagne et l’Espagne suivent la même direction mais notre Belgique ressemble plutôt à un gruyère… Depuis l’hiver passé, les conducteurs et leur monture souffrent de trous envahissants. Des suspensions endommagées, des pneus abîmés et parfois des accidents en chaîne… Que dire des motards beaucoup plus vulnérables ! En ville, les deux roues peuvent toujours esquiver mais lancés à 120 km/h sur autoroute, l’histoire est toute autre… Il en résulte des chutes graves voire la mort de certains. En journée, la tâche est déjà compliquée pour tous mais la nuit, c’est un vrai parcours du combattant, un jeu de devinette voire un exercice de mémorisation pour le prochain passage… Le jeu devient vite agaçant et fini par coûter cher ! Pourtant, nous payons toutes sortes de taxes pour que notre pays s’améliore mais le trou et les trous sont de plus en plus grands. Nos chères personnalités politiques se prennent le chou pour une question de langue et de nationalisme. Ils oublient qu’il y a des habitants qui parcourent leur pays. À quand notre billard que l’on arrête d’avoir les boules lorsque nous sortons de chez nous ?



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